Te voir enfin, miroir : tranche épaisse et sombre, eau lourde qui avale sans mouvement.
Le matin dirait : tu dors. Rêve et mémoire, en reflets doubles : brasier doux. Tu as su l’été à jamais.
Écritures
Te voir enfin, miroir : tranche épaisse et sombre, eau lourde qui avale sans mouvement.
Le matin dirait : tu dors. Rêve et mémoire, en reflets doubles : brasier doux. Tu as su l’été à jamais.