La mer est une, ne change que par ses bords. Formes rectilignes, aplaties des plages, lignes lisses des dunes, discontinuités des rochers, des falaises, distributions des fleuves par leurs embouchures ; et puis ce qui s’accroche, se dépose: des chaises-longues, les empreintes de pas se résorbant, les châteaux fondus, une pelle, un livre retourné. Et la reine Victoria, en noir, regard vers le large.