Dans l’asseoir, il y a l’être épais, la fatigue béate, le poids qui se suffit à lui-même
Il y a de la lumière en trop. Se mêlent des branches jetées au verre rayé. La paix, ce sont les rails rouillés en faisceaux.
Tu pourrais glisser, t’endormir au début de l’après-midi. La ligne continuerait, sans limite. Fin heureuse.